Remy Lebeau [terminé]

Nom: LeBeau
Prénom: Rémy
Surnom: Gambit
Age: 35 ans
Groupe : Ça dépend de la période. En général X-Men mais il lui arrive de faire cavalier seul (cf. le comics original).

Pouvoirs : Charge des objets inanimés d’énergie biocinétique explosive

Personnellement, j’hésite entre niveau 3 ou 4 du fait que c’est un pouvoir qu’il maîtrise très bien car il l’utilise régulièrement, ne serait-ce que par amusement maintenant, il ne l’emploie pas à faire sauter des trucs colossaux ou alors seulement dans des cas très précis (sauver la Terre entière, décapsuler une bière, ce genre de trucs quoi).

Catégorie 1:
A ce niveau, atteint dans son adolescence, Gambit pouvait tout juste illuminer ses mains d’une légère aura rouge et amplifier la force cinétique d’objets très minimes (des billes, de petits cailloux). En fait, il lui arrivait de temps en temps de ne pas le contrôler mais cela ne causait en règle général que des incidents mineurs.

Catégorie 2:
A ce niveau, Gambit était capable de charger de menus objets, comme une paire de clés, des cartes à jouer ou encore une boule de billard. Déjà, il en possédait un contrôle assuré, quasiment sûr de pouvoir l’empêcher d’exploser sans son consentement mais encore incapable de décharger l’objet par sa seule volonté.

Catégorie 3:
Niveau optimum, il peut charger des objets plus volumineux comme son bâton de combat, une batte de base-ball, ou encore une pile d’assiettes.
Les explosions se font plus vives, pouvant parfois aller jusqu’à l’éblouissement suivant l’intensité voulue. Contrôlant ce pouvoir à un haut degré, il peut charger ou décharger un objet à volonté.

Catégorie 4:
A ce niveau de puissance, Gambit peut charger des objets de la taille d’un tonneau ou d’un bidon de métal, une porte ou encore une statue de 2m de haut. La flamboyance se fait d’un rouge presque sanglant et les explosions de plus en plus violente.

Catégorie 5:
Niveau de puissance très conséquent, il se caractérise par une flamboyance de plus en plus rouge, presque menaçante, des explosions titanesques et aveuglantes et surtout la capacité de charger des objets de très grande taille, comme une voiture, un rocher, un pan de mur ou encore une benne à ordure.

Oméga:
Comment dire. Vous voyez le film Armageddon lorsqu’ils font exploser l’astéroïde ! Ne cherchez plus, vous avez l’idée…

Histoire :
Rémy naît quelque part dans les quartiers pauvres cajuns de la Nouvelle-Orléans de père et de mère inconnues, abandonné à la naissance à cause de son anomalie génétique: des yeux rouge sur fond noir. Jamais il ne connaîtra l’identité de ses parents.

Placé à l’assistance public puis dans un orphelinat, il reste un enfant solitaire que sa différence marquante ne peut que placer à l’écart des autres, encore qu’alors, le racisme anti-mutant n’est pas encore si prononcé, les médecins diagnostiquant plutôt une forme tronquée d’albinisme plutôt qu’une véritable mutation. Lui-même s’en fiche pas mal après tout, ses yeux sont rouges, et alors ?
Délaissé par ses tuteurs et les autres enfants de son âge, il se met à errer par les rues comme tout les enfants perdus dans son cas, il se ballade dans tout les coins glauques de la Nouvelle-Orléans, fauchant de ci de là et jouant les pickpockets pour des plus grands. Cela durera jusque vers ses dix ans et son adoption légal par Jean-Luc Lebeau, un homme plutôt mystérieux et qui s’avéra en fait être le chef de la très estimée Guilde des Voleurs de la Nouvelle-Orléans, l’une des deux plus puissantes de toute la ville. C’est à dater de ce jour que Rémy intégra la Guilde et eût pour maître en la matière le plus grand d’entre eux : Jean-Luc, qui ne voyait alors en lui qu’un simple élève prometteur et pas encore un véritable fils.
Les années ont passées et ses pouvoirs ont commencés à apparaître vers l’adolescence. Ses premières expériences ne furent pas les plus heureuses mais grâce à Jean-Luc et le soutien des autres Voleurs, il réussit tant bien que mal à s’en accommoder voir à apprendre à les utiliser dans son « travail », suivant les maximes de son maître : apprendre à utiliser toutes ses compétences pour atteindre le but que l’on s’est fixé dans la vie. Cette vie fut aussi la plus heureuse partie de son existence. Enfin, il était entouré d’amis qui ne le jugeait pas sur son regard ou ses pouvoirs ou bien sa bâtardise, qui s’arrêtaient aux faits, des professeurs qui l’aidaient et le punissaient, toujours de manière juste selon le code des Voleurs.
Face à la montée de ses compétences et une véritable révélation, Jean-Luc se mit à le voir de plus en plus comme un fils spirituel que comme une simple recrue de choix, si bien que lors de son 18° anniversaire il fut présenté à la cour des Miracles, haut rassemblement de toutes les Guildes pour se voir reconnaître officiellement le statut de fils légitime de Rémy LeBeau par le Milieu et surtout que soit signifié à tous son statut d’héritier du poste de chef de la Guilde des Voleurs… Une bien prometteuse carrière en perspective.

Mais revenons quelques instants en arrière sur ses premiers émois adolescents, tout en faisant abstraction de ses pouvoirs. Lors de ses rares visites à la Cour des Miracles, il rencontra une jeune fille, Belladonna, une jeune femme magnifique au port gracieux, celui d’une reine assurément dont il tomba éperdument amoureux et à qui il fit une cour digne des romans du 18° siècle. Cette fille hors, était celle de Marcus Bourdreaux, rien d’autre que le chef de la seconde plus puissante guilde de la Nouvelle-Orléans, celle des Assassins, en conflit avec les Voleurs depuis des siècles. Mais eût égard à leur amour réciproque et dans le but d’apaiser les contentieux et surtout dans la perspective d’une alliance sans pareil, les chefs des deux guildes se mirent d’accord pour leur laisser libre cours et plus encore, décidèrent qu’ils seraient unis pour la vie, par un mariage qui solidifierait définitivement cette dîtes alliance.

Le jour de leur 20° anniversaire, ils furent mariés devant Dieu et la Cour des Miracles assemblée (incluant les Guildes des Mercenaires, divers Mafia et surtout la très réputée Guilde des Mendiants). La seule ombre au tableau fut ce jour l’esclandre déclenché par Julien Bourdreaux, frère jaloux et ambitieux de Belladonna qui voyait en Rémy un rival à abattre.

Quelques semaines après le mariage, Julien défia Rémy au champ d’honneur, dans un combat singulier, un combat qu’il voulait à mort. Il se pensait alors supérieur à celui que l’on connaîtrait sous le nom de Gambit car plus âgé, plus expérimenté et surtout mieux armés. Mais il lui manquait une donnée essentielle sur son adversaire : il possédait des pouvoirs d’une nature nouvelle, de puissants pouvoirs qu’il avait appris en partie à maîtriser si bien que leur affrontement tourna au duel de titans et causa d’énormes dommages (on crût à un attentat). Et surtout, Rémy avait blessé très gravement Julien, le laissant au seuil de la mort.
Conscient de la gravité de son geste, il quitta les Guildes, la Nouvelle-Orléans… et Belladonna, sa femme, son véritable amour.

Il quitta les Etats-Unis et se lança dans le vol à l’échelon international, sévissant dans toutes les grandes capitales du monde, arnaquant, cambriolant, dévalisant, toujours sans haine ni violence, une sorte de Gentleman Cambrioleur du XX° siècle. Cette période ressemble en fait plus à une longue fuite en avant qu’autre chose mais que voulez-vous, il lui fallait bien oublier son passé.
C’est durant cette période qu’il rencontra Mr. Sinister, un bien sombre personnage et sous la coupe duquel il tomba, acceptant de se servir de ses contacts dans le Milieu pour recruter des mercenaires et des mutants pour constituer le groupe des Maraudeurs (qui se compose alors de Dents de sabre, Malice, Vertigo ou encore Arclight), un groupe de criminels sanguinaires et destructeurs que Mr. Sinister pense alors utiliser pour massacrer les aberrations génétiques, en commençant par les Morlocks qu’il juge purement et simplement inutiles. C’est ainsi qu’il planifia ce qui allait devenir le massacre de la première communauté Morlocks de New York (avant Callisto, celle avec Marrow).

Cette attaque fut un véritable massacre et cette nuit là, les Morlocks furent exterminés à plus de 80% dans une véritable boucherie. Seule l’intervention des X-Men et de quelques autres mutants les sauveront de l’annihilation totale, encore que les X-Men eurent aussi leur lot de blessés. Lors de cette tuerie, Gambit prit conscience de son erreur et de ce que Mr. Sinister avait accompli à travers lui. Dégoûté, se haïssant jusqu’au tréfonds de son être, Rémy fuit le combat dans la confusion sans que grand monde ait finalement pu l’apercevoir (hormis peut-être Dazzler, Diablo, Shadowcat et Marrow, aux admins de décider).

A plusieurs reprises, il songea au suicide, il songea à l’idée d’en finir mais les vieilles leçons de son père lui revinrent en mémoire et il su qu’il n’avait pas le droit de faire cela. Se réfugiant au Caire auprès d’un vieux collègue, Achmed el-Gibar, il commence à lentement s’enfoncer dans l’alcool et la résignation…
Jusqu’au jour de l’arrivée de Shadow King et des X-Men venus le combattre.
A cette occasion, il fait la rencontre d’Ororoe Munroe alors à la recherche d’un peu d’aide dans son combat contre le criminel Amahl Farouk auprès de son vieux mentor qui lui indique Gambit comme une sorte de mercenaire en quête d’une cause à défendre. Tornade lui rend visite et le convint du bien fondé de combattre Farouk sans se douter un seul instant de l’étendue de ses pouvoirs. Mais lorsque nécessité fait loi, on à guère le choix dit le vieil adage. Gambit, trouvant là une façon de se racheter à la face du monde et à ses propres yeux se jette à corps perdu dans la bataille, poussant ses limites jusqu’au maximum pour venir en aide aux X-Men et au Professeur X dans leur combat de titan face à Shadow King et ses séides. D’ailleurs, sans l’intervention de Gambit, Tornade aurait pus subir de bien graves blessures et c’est là ce qui la poussa à le présenter au Professeur Xavier une fois la fureur des combats retombée et à appuyer sa candidature contre l’avis de certains autres membres de l’équipe.

Gambit devint définitivement un X-Man à compter de ce jour mais jamais il ne révéla à quiconque ses antécédents avec les Maraudeurs et même le Pr. X ne pus pénétrer la barrière mentale que sa haine pour lui-même, sa honte et son traumatisme à ces images de carnage avait pus ériger. Une barrière que rien ne semblait pouvoir briser hormis peut-être la vérité elle-même.

Repère chronologique:

Gambit restait rarement longtemps à l'Académie à cette époque et ce pour un certains nombre de raisons: tout d'abord, il n'a jamais cessé son activité de voleurs même si à présent, il le fait juste pour le challenge ou par nécessité (comme lorsque Xavier à besoin de récupérer quelque chose en douceur, genre des documents confidentiels du HAARP) . C'est aussi un très mauvais exemple pour les autres étudiants, il passe en effet son temps à leur passer tout leur caprices en référence à cette jeunesse qu'il n'a pas eût et à son bagage culturel (il vient de la Nouvelle-Orléans, la ville de la Fête Eternelle quand même). Il sert donc principalement d'éclaireur et d'agents de liaison aux X-Men un peu partout dans le monde au grès de ces déplacements.

Mais il finit toujours par revenir à l'Académie, ne serait-ce que pour venir embêter Logan ou Hank. C'est là qu'il rencontra la jeune Will Mc Fallen, le petit-ange comme il la surnomme... et cette rencontre fut un choc, il se souvenait de la dernière fois où il l'avait rencontrée... à l'époque, c'était encore une petite ado, une gamine mais elle avait trouvée refuge chez les Morlocks par peur de ces pouvoirs ou un truc dans le genre.

Lorsque les Maraudeurs lancèrent l'assaut avec Gambit, elle se trouvait déjà à l'abri dans un collecteur aussi fut-elle épargnée et ne vit quasiment rien du massacre car une silhouette lui bouchait la vue, la silhouette d'une homme avec un long manteau en cuir, une silhouette illuminée par les flammes et entourée par les hurlements de douleur... Une silhouette avec les yeux rouge... et un nom: GAMBIT.

Lorsqu'il vit la jeune femme entrer dans l'Académie, il la reconnut aussitôt... Ces yeux, étaient les même, elle avait peut-être grandit depuis mais elle avait toujours ce regard... et celui-ci était comme dans le souvenir de Gambit, celui d'une gosse terrifiée par ce qu'elle ne pouvait qu'imaginer.


Caractère :Gambit est un cajun avec la fameuse habitude de draguer toutes les jolies filles qui passent à sa portée, ce qui peut parfois irriter certaines de ces demoiselles ainsi que leurs maris le cas échéant. C’est aussi un homme profondément sensible et honnête malgré ses habitudes de Voleurs.
Espiègle, il aime jouer de petits tours aux membres de son équipe, et amuser la galerie par des répliques cinglantes parfois cynique mais qui ont au moins le mérite de détendre l’atmosphère, surtout quand les X-Men ont affaire avec des gros morceaux dans le genre d’Apocalypse ou de Magnéto.
Gambit aime les jeux de cartes, la chicorée, la cuisine française, parler français.
Gambit n’aime pas les filles faciles, le thé et les machines à sous.


Physique : Gambit mesure 1m85 pour 80 kg, c’est un homme athlétique qui prend soin de son corps, son principal instrument de travail en tant que voleur international et membre des X-Men. Ses yeux sont rouge vif sur fond d’iris noir (évolution génétique) et il porte des cheveux châtain clair coupés mi-longs.
Bien sûr, n’oublions pas de rappeler que Gambit est un homme séduisant au sourire ravageur quoique parfois mal rasé… Gambit possède trois styles vestimentaires différents suivant qu’il est au repos, sur son 31 ou bien en mission. En soirée, il porte un smoking fait sur-mesure avec nœud papillon et mocassin italien ciré à l’avenant, une rose rouge à la boutonnière. Des boutons de manchettes nacrés et tout le toutim. Au repos, il porte des chemises par-dessus des T-shirts et très souvent des vieux jeans délavés ou des pantalons cargo avec de vieilles paires de baskets ou des chaussures de randonnées. Il porte aussi une paire de gants en cuir de motards laissant dépasser les phalanges. En mission par contre, il porte un costume noir des X-Men agrémenté d’un vieux pardessus en cuir râpé qui le suit depuis la Nouvelle-Orléans, d’une paire de Rangers ferrés et de gants renforcés de métal pour protéger ses mains des détonations et mettre des coups de poings percutants. Il porte également un bâton qu’il peut ranger dans son dos à l’aide d’une courroie.En toutes occasions, il transporte plusieurs